POUR LES ENFANTS ET LES JEUNES
Au Sud-Kivu, il a actuellement des milliers d’enfants zéro dose, c’est-à-dire qui ne se sont jamais fait vacciner, et d’autres sous-vaccinés, c’est-à-dire qu’ils ont manqué plusieurs doses prévues dans le calendrier vaccinal. Cette situation qui met en danger la vie de ces enfants, a été […]
Ce lundi 17 juin 2024, le Maire de la ville de Goma a remis un enfant de 8 ans à ses parents, après qu’il ait été porté disparu de son domicile depuis le 9 juin 2024. Selon le Maire, le commissaire supérieur principal Kapend Kamand […]
Environ 40 journalistes, enfants journalistes du RJAE et enfants reporters de l’UNICEF, s’engagent à contribuer aux efforts visant l’amélioration de la couverture vaccinale en RDC. Ils l’ont dit ce mercredi 30 août 2023, à l’issue d’une formation organisée à Bukavu au Sud-Kivu, par le Programme […]
Le Programme Élargi de Vaccination (PEV) a organisé ce mardi 29 août 2023, une formation des journalistes et enfants journalistes, sur la vaccination. De 8h 30 à 17 heures, les journalistes ont été dans un atelier organisé par le PEV en collaboration avec le RJAE […]
Des centaines d’enfants sont sans-abris et vivent dans une grande précarité après un incendie monstre la nuit du 3 au 4 juin au Camp Zaire , dans la commune de Kadutu, ville de Bukavu en RD Congo. Watoto News vous replonge dans le quotidien des […]
ACTUALITÉS MULTIMÉDIADes centaines d’enfants sont sans-abris et vivent dans une grande précarité après un incendie monstre la nuit du 3 au 4 juin au Camp Zaire , dans la commune de Kadutu, ville de Bukavu en RD Congo.
Watoto News vous replonge dans le quotidien des enfants sinistrés dans les sites des incendies en général et au Camp Zaire en particulier à Bukavu.
Des situations assez récurrentes dans le chef lieu de la province du Sud Kivu et qui devraient interpeller les gestionnaires de la ville en matière de prévention des incendies .
Ainsi, avec plus de 500 maisons consumées, plusieurs enfants font face au froid, à la faim, et surtout à l’incertitude de reprendre l’école.
Ces enfants avec leurs parents crient “au secours” !
C’est un Dossier réalisé par Ernest Muhero
Au sommaire du 3è numéro du journal des enfants de ce 8 septembre 2024 : A Bukavu , Trois enfants ont perdu la vie dans un incendie signalé le lundi 2 septembre au quartier Panzi, dans la commune d’Ibanda au Sud-Kivu. A Kalehe, un enfant est […]
MULTIMÉDIAAu sommaire du 3è numéro du journal des enfants de ce 8 septembre 2024 :
A Bukavu , Trois enfants ont perdu la vie dans un incendie signalé le lundi 2 septembre au quartier Panzi, dans la commune d’Ibanda au Sud-Kivu.
A Kalehe, un enfant est mort noyé sur le lac Kivu le 29 août 2024. L’incident a eu lieu lors d’une traversée en pirogue à Ishovu, dans la chefferie de Buhavu.
A Beni au Nord Kivu, 25 enfants dont 10 filles de 5 à 17 ans viennent d’être retirés des groupes Mai Mai et des rebelles ADF grâce à l’implication de la MONUSCO.
En RDC la rentrée scolaire est intervenue depuis le 2 septembre sur fond des perturbations d’élèves des écoles publiques à la suite de la grève lancée. Pendant ce temps les écoles privées et conventionnées étudient normalement. Nous nous rendrons à Bukavu, Idjwi, Kalehe et Zongo dans le Sud Ubangi.
Bonnes conditions d’écoute de ce journal présenté par Michaella Mugisho, enfant-journaliste du RJAE âgée de 10 ans sous la coordination de Ernest Muhero
La problématique du recrutement d’enfants par les forces et groupes armés est un fléau persistant qui continue de ravager les communautés en République Démocratique du Congo (RDC). Malgré les efforts déployés par les acteurs de la protection de l’enfance, la situation reste alarmante. Un atelier […]
ACTUALITÉSLa problématique du recrutement d’enfants par les forces et groupes armés est un fléau persistant qui continue de ravager les communautés en République Démocratique du Congo (RDC). Malgré les efforts déployés par les acteurs de la protection de l’enfance, la situation reste alarmante.
Un atelier interprovincial, organisé à Bunia les 5 et 6 septembre, a rassemblé des représentants de différentes provinces pour discuter des stratégies à adopter pour mettre fin à ce phénomène.
Cet événement, soutenu par la Monusco et plusieurs organisations locales, a réuni 46 participants, dont des représentants de l’État et des ONG, afin de partager des expériences et des bonnes pratiques face à un problème qui touche plus de 33 860 enfants, dont 13 000 filles, enrôlés dans 229 groupes armés.
Ces enfants, souvent recrutés par la force ou la coercition, sont utilisés non seulement comme combattants, mais aussi comme cuisiniers, porteurs de munitions et victimes d’abus sexuels.
Une tragique réalité
Ce phénomène d’enfants soldats est particulièrement critique dans les provinces du Sud-Kivu, Nord-Kivu, Maniema, Tanganyika et Ituri. Les participants ont souligné que la pauvreté, l’absence d’éducation, ainsi que des influences tribales et un sentiment de patriotisme trompeur sont des facteurs qui poussent les enfants à rejoindre ces groupes armés.
« Dans notre province, des enfants, attirés par la promesse d’un emploi dans les mines d’or, se retrouvent facilement recrutés par des groupes armés », constate Maitre Amurani Yuma, point focal du Programme de Désarmement, Démobilisation, Réinsertion communautaire et Stabilisation (PDDRC-S) au Maniema.
Le constat fait est tel que les enfants sont exposés à des violences graves, y compris des mutilations et des meurtres. Ce contexte désolant nécessite des actions immédiates et concertées pour apporter des solutions durables, notent les acteurs.
Au cours de l’atelier, les participants ont convenu que le Gouvernement doit prendre des mesures concrètes pour opérationnaliser le PDDRC-S, un programme qui peine à se mettre en œuvre malgré son existence depuis trois ans. Ils ont appelé à une meilleure allocation des ressources pour soutenir les initiatives de désarmement et de démobilisation, tout en renforçant la sensibilisation au sein des communautés.
Murabazi Namegabe, coordonnateur régional du réseau des organisations de la société civile contre le recrutement d’enfants, a souligné l’importance de l’engagement des autorités locales, religieuses et coutumières dans la lutte contre ce fléau.
« La sensibilisation de la communauté est cruciale ; une population informée peut jouer un rôle clé dans la libération des enfants », a-t-il affirmé.
Malgré ce tableau sombre, des initiatives prometteuses commencent à porter leurs fruits. Selon le Bureau pour le Volontariat, Enfance et Santé (BVES), 1 051 enfants ont déjà été libérés des groupes armés en Ituri, et plus de 300 enfants ont été secourus dans le Nord-Kivu grâce à l’intervention de la Monusco depuis le début de l’année.
Pour cette structure, ces réussites montrent qu’il est possible de mettre un terme à cette tragédie, mais il faut intensifier les efforts pour garantir que ces enfants retrouvent leur place au sein de la société.
Au moins 17 enfants sont décédés dans l’incendie de leur pensionnat, la nuit du jeudi 5 au vendredi 6 septembre au Kenya. Après ce drame, trois jours de deuil national ont été décrétés par le président William Ruto à partir de lundi 9 septembre prochain. […]
ACTUALITÉSAu moins 17 enfants sont décédés dans l’incendie de leur pensionnat, la nuit du jeudi 5 au vendredi 6 septembre au Kenya. Après ce drame, trois jours de deuil national ont été décrétés par le président William Ruto à partir de lundi 9 septembre prochain.
Selon les médias locaux, 16 enfants sont encore à l’hôpital, gravement blessés. Dans le dortoir des garçons où l’incendie a commencé, ils étaient plus de 150. Vendredi après-midi, le vice-président Rigathi Gachagua a annoncé que 70 élèves n’avaient toujours pas été retrouvés
Selon des sources sur place, les communautés avoisinantes et certaines familles ont récupéré des enfants juste après le drame.
« Il y a eu comme une panne d’électricité et soudain, le feu a commencé dans le dortoir des garçons. C’était la nuit, la plupart des enfants dormaient. L’alarme a sonné, mais la plupart des gens ne l’ont pas entendu, donc l’évacuation des enfants a été très chaotique. C’est vraiment très triste, cela nous brise le cœur », raconte le professeur Josaia Mwangi, enseignant à l’école de Hillside Endarasha, dans le comté de Nyeri, cité par RFI.
L’école, qui accueille quelque 800 élèves âgés de neuf à 12 ou 13 ans, se trouve dans une zone semi-rurale à environ 170 km au nord de la capitale Nairobi.
Plusieurs autres personnes ont été blessées, dont 16 grièvement, et hospitalisées d’urgence, a déclaré la porte-parole de la police, Resila Onyango, ajoutant qu’une enquête était en cours pour déterminer les causes de l’incendie.
Pour rappel, en 2017, un incendie volontaire du lycée de filles Moi, à Nairobi, avait encore tué 10 élèves. En 2001, dans le district de Machakos, 67 enfants avaient également péri dans l’incendie de leur dortoir.
Le mouvement citoyen OBAPG-RDC (Observatoire des Actions Parlementaires et de la Gouvernance en RDC), dénonce l’utilisation des enfants dans des carrières de sable, dans la chefferie de Ntambuka, en territoire d’Idjwi au Sud-Kivu. Bienfait Shamavu, membre de ce mouvement citoyen, l’a déclaré lors d’un entretien […]
ACTUALITÉSLe mouvement citoyen OBAPG-RDC (Observatoire des Actions Parlementaires et de la Gouvernance en RDC), dénonce l’utilisation des enfants dans des carrières de sable, dans la chefferie de Ntambuka, en territoire d’Idjwi au Sud-Kivu.
Bienfait Shamavu, membre de ce mouvement citoyen, l’a déclaré lors d’un entretien avec un correspondant de Watoto News ce mercredi 4 septembre 2024.
Celui-ci regrette de constater que des enfants sont utilisés dans des activités économiques alors qu’ils devraient être à l’école pour se préparer à leur avenir.
“OBAPG-RDC met en garde contre toute personne qui continue à utiliser des enfants dans l’exploitation du sable à Idjwi. J’invite également les parents à retirer leurs enfants des sites d’exploitation de sable et à les renvoyer à l’école pour leur garantir une vie meilleure à l’avenir”, insiste-t-il.
Contacté à ce sujet, Charles Muhara, président d’une structure regroupant les transporteurs de sable, rejette ces allégations. Selon lui, son association respecte la loi sur la protection des enfants.
Trois jours après la rentrée scolaire pour l’année scolaire 2024-2025 en RDC, les élèves sont de retour sur le chemin de l’école dans la sous-division de l’enseignement primaire, secondaire et technique de Zongo, au Sud-Ubangi 2. Comme ceux de l’ensemble du territoire national, les enfants […]
ACTUALITÉSTrois jours après la rentrée scolaire pour l’année scolaire 2024-2025 en RDC, les élèves sont de retour sur le chemin de l’école dans la sous-division de l’enseignement primaire, secondaire et technique de Zongo, au Sud-Ubangi 2.
Comme ceux de l’ensemble du territoire national, les enfants ont repris le chemin des cours, et les enseignements se donnent normalement dans plusieurs écoles de la ville de Zongo.
Penge Odilon, élève de 6e année primaire dans l’une des écoles de la ville, interrogé par un correspondant de Watoto News, fait savoir que dans son école, les cours se déroulent normalement depuis le matin jusqu’à 12h15.
il appelle ses amis à reprendre le chemin de l’école, car les vacances ont pris fin. D’autres enfants, par contre, nous ont fait savoir qu’ils n’ont pas encore reçu leurs fournitures scolaires et attendent la semaine prochaine pour aller à l’école.
Pour cette rentrée scolaire dans la sous-division de l’EPST Zongo, plusieurs parents se plaignent de la conjoncture qui ne leur facilite pas la rentrée scolaire de leurs enfants. Il y a également certains parents qui craignent d’envoyer leurs enfants à l’école en raison de l’épidémie de Mpox qui sévit dans la province du Sud-Ubangi.
Ce lundi 2 septembre 2024, les établissements scolaires ont rouvert leurs portes sur l’ensemble du territoire de la République Démocratique du Congo. À Bukavu, les couleurs bleu et blanc ont illuminé les rues après deux mois de vacances passés par les enfants chez eux. A […]
ACTUALITÉSCe lundi 2 septembre 2024, les établissements scolaires ont rouvert leurs portes sur l’ensemble du territoire de la République Démocratique du Congo. À Bukavu, les couleurs bleu et blanc ont illuminé les rues après deux mois de vacances passés par les enfants chez eux.
A cette occasion, Madame la ministre provinciale de l’Éducation au Sud-Kivu, Catherine Balemba, a procédé au lancement officiel de la rentrée scolaire au complexe scolaire Élite.
Après ce lancement officiel, celle-ci a effectué une visite dans plusieurs écoles de la place, afin de s’assurer de l’effectivité de la reprise des cours.
Partout où elle s’est rendue, la ministre a encouragé les élèves, leur rappelant que l’avenir de la province repose entre leurs mains.
Cependant, malgré la reprise des classes ce lundi, certaines écoles n’ont pas ouvert leurs portes en raison d’un appel à la grève lancé par le syndicat des enseignants des établissements publics.
La Ministre de l’éducation a exhorté les enseignants à honorer leur engagement en tant qu’éducateurs, afin d’offrir aux enfants la possibilité d’étudier et de garantir un enseignement de qualité pour tous les élèves du Sud-Kivu.
Celle-ci a également félicité les enseignants présents ce lundi, pour avoir placé l’intérêt supérieur de l’enfant au cœur de leurs priorités.
Une tentative d’évasion à la prison centrale de Makala a entraîné des pertes humaines considérables et des dégâts matériels importants. Selon le ministère de l’Intérieur, 129 personnes ont perdu la vie, dont 24 par balles après sommation. Dans une communication, le Vice-Premier ministre Jacquemain Shabani […]
ACTUALITÉSUne tentative d’évasion à la prison centrale de Makala a entraîné des pertes humaines considérables et des dégâts matériels importants. Selon le ministère de l’Intérieur, 129 personnes ont perdu la vie, dont 24 par balles après sommation.
Dans une communication, le Vice-Premier ministre Jacquemain Shabani a déclaré que les autres victimes sont décédées suite à des bousculades ou des étouffements. L’on note cependant des cas de femmes violées pendant les échauffourées.
“Le bilan provisoire sur le plan humain fait état de 129 morts dont 24 par balles après sommation. La commission a également identifié 59 blessés pris en charge par le Gouvernement. Sur le plan matériel, les bâtiments administratifs, le greffe, l’infirmerie, et les dépôts de vivres ont été détruits par l’incendie. Le Gouvernement se réjouit du retour au calme, déplore ces tragiques événements, et présente ses condoléances aux familles des victimes,” a déclaré le Ministre de l’intérieur.
Notons qu’à la suite de cette tentative d’évasion, une réunion d’urgence a été convoquée par les autorités de défense et de sécurité. Plusieurs organisations appellent à une enquête pour faire la lumière autour de cet incident.
Trois enfants ont perdu la vie dans un gigantesque incendie signalé dans la matinée de ce lundi 2 septembre 2024, au quartier Panzi, dans la commune d’Ibanda, ville de Bukavu au Sud-Kivu. A en croire des sources sur place, cet incendie d’une ampleur considérable a […]
ACTUALITÉSTrois enfants ont perdu la vie dans un gigantesque incendie signalé dans la matinée de ce lundi 2 septembre 2024, au quartier Panzi, dans la commune d’Ibanda, ville de Bukavu au Sud-Kivu.
A en croire des sources sur place, cet incendie d’une ampleur considérable a ravagé quatre maisons et d’autres biens matériels. Parmi les trois enfants victimes, l’un était âgé de trois ans, un autre de deux ans et un dernier d’un an.
Le chef de quartier adjoint de Panzi, Christophe Itongwa, qui s’est confié à Watoto News, affirme que deux des enfants font partie d’une même famille.
“Quatre maisons sont parties en fumée. Après des enquêtes préliminaires, l’officier de police judiciaire de Panzi et le commandant du CIAT de Panzi ont demandé l’autorisation d’inhumer les corps auprès du procureur. Les victimes sont Josline Idumbo, âgée de trois ans, Josephine Idumbo, âgée d’un an, ainsi que Miriamu Mushuzo, âgée de deux ans,” a déclaré le chef adjoint du quartier Panzi.
Il convient de signaler que jusqu’à présent, les familles éprouvées par ce drame passent la nuit à la belle étoile, dans l’attente d’une aide de la part des autorités ou des personnes de bonne volonté.
La rentrée scolaire n’a pas été effective ce lundi 2 septembre dans plusieurs écoles conventionnées et publiques de la ville de Bukavu au Sud-Kivu. A la base, les professionels de la craie ont suivi le mot d’ordre de la Synergie des syndicats des enseignants (protestants, […]
ACTUALITÉSLa rentrée scolaire n’a pas été effective ce lundi 2 septembre dans plusieurs écoles conventionnées et publiques de la ville de Bukavu au Sud-Kivu. A la base, les professionels de la craie ont suivi le mot d’ordre de la Synergie des syndicats des enseignants (protestants, catholiques et des écoles publiques) du Sud-Kivu, qui a appelé à boycotter la rentrée scolaire si leurs revendications salariales ne sont pas prises en compte par l’Etat Congolais.
Depuis la matinée, plusieurs écoles publiques n’ont pas ouvert leurs portes pour acceuillir les enfants. C’est le cas de l’ecole primaire et Insitut Nyalukemba, l’école primaire Ibanda 1 et 2. Ici, on pouvait voir des salles de classe sans élèves ni enseignants.
Malgré ce boycott, quelques écoles conventionnées et publiques, ainsi que toutes les écoles privées de Bukavu ont normalement repris les cours ce lundi. C’est le cas du lycée Cirezi ou encore le complexe scolaire Elite.
Dans plusieurs écoles privées visitées par Watoto News, les cours se passent normalement.
Les enfants expriment un sentiment de satisfaction et remercient les parents pour les avoir préparé à la rentrée à l’école après deux mois de vacances.
Nabintu Shekinah, est élève au complexe scolaire Elite. Elle est fière d’apprendre de nouvelles choses à l’école.
“Je suis vraiment ravie de voir mes collègues, mes enseignants, vraiment j’aime trop les études et surtout je suis finaliste. Je dois être assidue et je vais travailler d’avantage pour faire mieux. J’invite d’autres élèves qui se trouvent à l’étranger de venir débuter avec les cours et je remerciant mes enseignants ainsi que le parents pour leur accompagnement,” note-t-elle.
Notons que bien que l’Etat Congolais ait promis une augmentation de 100.000 francs congolais sur le salaire mensuel des enseignants des écoles conventionnées et publiques, ces derniers considèrent cette somme comme modique. Certains exigent que leur salaire mensuel atteigne au moins 500 dollars, avant toute reprise des enseignements.
Les classes n’ont pas ouvert ce 2 septembre dans la plupart des écoles publiques de Bukavu. Elles ont ouvert dans les écoles privées agréées et très peu d’écoles publiques
MULTIMÉDIALes classes n’ont pas ouvert ce 2 septembre dans la plupart des écoles publiques de Bukavu. Elles ont ouvert dans les écoles privées agréées et très peu d’écoles publiques