POUR LES ENFANTS ET LES JEUNES
Au Sud-Kivu, il a actuellement des milliers d’enfants zéro dose, c’est-à-dire qui ne se sont jamais fait vacciner, et d’autres sous-vaccinés, c’est-à-dire qu’ils ont manqué plusieurs doses prévues dans le calendrier vaccinal. Cette situation qui met en danger la vie de ces enfants, a été […]
A travers le théâtre, des jeunes de la cité de Kamanyola, territoire de Walungu au Sud-Kivu, ont sensibilisé la population ce vendredi 3 mai, sur la prévention des conflits entre agriculteurs et éleveurs. Il s’agit des jeunes du groupe théâtral Santa Maria, qui disent vouloir […]
Environ 40 journalistes, enfants journalistes du RJAE et enfants reporters de l’UNICEF, s’engagent à contribuer aux efforts visant l’amélioration de la couverture vaccinale en RDC. Ils l’ont dit ce mercredi 30 août 2023, à l’issue d’une formation organisée à Bukavu au Sud-Kivu, par le Programme […]
Le Programme Élargi de Vaccination (PEV) a organisé ce mardi 29 août 2023, une formation des journalistes et enfants journalistes, sur la vaccination. De 8h 30 à 17 heures, les journalistes ont été dans un atelier organisé par le PEV en collaboration avec le RJAE […]
Des centaines d’enfants sont sans-abris et vivent dans une grande précarité après un incendie monstre la nuit du 3 au 4 juin au Camp Zaire , dans la commune de Kadutu, ville de Bukavu en RD Congo. Watoto News vous replonge dans le quotidien des […]
ACTUALITÉS MULTIMÉDIADes centaines d’enfants sont sans-abris et vivent dans une grande précarité après un incendie monstre la nuit du 3 au 4 juin au Camp Zaire , dans la commune de Kadutu, ville de Bukavu en RD Congo.
Watoto News vous replonge dans le quotidien des enfants sinistrés dans les sites des incendies en général et au Camp Zaire en particulier à Bukavu.
Des situations assez récurrentes dans le chef lieu de la province du Sud Kivu et qui devraient interpeller les gestionnaires de la ville en matière de prévention des incendies .
Ainsi, avec plus de 500 maisons consumées, plusieurs enfants font face au froid, à la faim, et surtout à l’incertitude de reprendre l’école.
Ces enfants avec leurs parents crient “au secours” !
C’est un Dossier réalisé par Ernest Muhero
Depuis lundi 13 mai, les enseignements sont suspendus à l’institut Sibatwa de Lusenda, a constaté un correspondant de Watoto News. L’arrêt des cours à cette institution secondaire qui, abrite les élèves réfugiés burundais du camp de Lusenda, est dû aux travaux de fabrication des briques […]
ACTUALITÉSDepuis lundi 13 mai, les enseignements sont suspendus à l’institut Sibatwa de Lusenda, a constaté un correspondant de Watoto News. L’arrêt des cours à cette institution secondaire qui, abrite les élèves réfugiés burundais du camp de Lusenda, est dû aux travaux de fabrication des briques pour la construction de quatre salles de classe pendant les prochaines vacances, selon des sources au sein de l’école.
Ces briques sont fabriqués par les élèves eux mêmes, et chaque élève a l’obligation de réaliser 70 briques.
Certains élèves rencontrés sur place, en pleine activité de fabrication des briques, font savoir que leur école a conditionné la participation aux prochains examens de fin d’année prévus à partir du 27 mai, par la fabrication de ces briques.
“On nous a clairement dit que celui qui ne fabriquera pas ces briques ne fera pas les examens de fin d’année. Depuis hier je me bats pour réaliser les 70 briques comme demandé,” fait savoir Nadège, élève à l’institut Sibatwa.
Le président du comité des parents confirme que la fabrication des briques par les élèves ressort de la réunion tenue entre les parents et l’école. Celui-ci indique cependant qu’il n’était pas prévu que cette activité se fasse pendant les heures des cours.
Pour ce parent, la fabrication de ces briques devrait être faite après cours pour ne pas handicaper le programme scolaire.
“Nous nous sommes convenus avec l’Institut sur cette activité mais ce qui a mal tourné est la fabrication de ces briques pendant les heures de cours. Normalement cette activité devrait avoir lieu après les cours. Nous suggérons la suspension de cette activité,” déclare le Président du Comité des parents de cet institut.
De sa part, le Réseau communautaire pour la protection de l’enfance (RECOPE) dénonce la suspension des cours à l’institut Sibatwa pour raison de fabrication des briques et interpelle les autorités compétentes à agir pour stopper ces activités et ordonner la reprise des cours dans l’immédiat.
“Aucune raison ne justifie la perturbation des cours pendant cette période de fin d’année. Les enseignants n’ont pas encore achevé le programme national d’enseignement. Comment les élèves rattraperont les cours si la fabrication des briques prévaut sur les cours ? Nous sommes concernés par ces activités qui n’avantagent pas les enfants. Ces activités doivent cesser dans l’immédiat. Que l’inspecteur cantonal, le Sous-Proved et d’autres autorités compétentes entendent nos alertes,” martèle le président du Recope Mr Musa Bigirimana.
Il sied de noter que l’institut Sibatwa se trouve à Lusenda, dans la sous-division de Fizi 3 en province éducationnelle du Sud Kivu 2.
35 personnes, parmi elles un total de 22 enfants victimes des bombardements au camp des déplacés de Mugunga à Goma, ont été inhumées ce mercredi 15 mai au Nord-Kivu. L’information a été livrée par le Porte-parole du gouvernement, Patrick Muyaya, à l’issue d’une cérémonie qui […]
ACTUALITÉS35 personnes, parmi elles un total de 22 enfants victimes des bombardements au camp des déplacés de Mugunga à Goma, ont été inhumées ce mercredi 15 mai au Nord-Kivu.
L’information a été livrée par le Porte-parole du gouvernement, Patrick Muyaya, à l’issue d’une cérémonie qui a rendu le dernier hommage à ces victimes.
Cette cérémonie s’est déroulée au stade de l’unité de Goma en présence de plusieurs délégations des gouvernements central et provincial, devant des familles endeuillées par cet incident.
Dans sa communication, Patrick Muyaya parle de l’avenir compromis des familles qui ont perdu les enfants et les nourrissons dans dlces bombardements du 3 mai 2024 à Mugunga et Lac-Vert. Des bombes probablement lancées par les rebelles du M23.
“Nous sommes venus pour rendre les derniers hommages aux victimes des bombardements. Les 35 personnes inhumées aujourd’hui, parmi elles, 22 sont des enfants, certains sont des nourrissons. Ils représentaient l’avenir de leurs familles et les produits de rêve de leurs parents. Tous ces rêves sont brisés. Parmi ceux qui sont morts, il y a des femmes et des parents qui laissent les orphelins avec un avenir compromis. Ceci doit s’arrêter et justice sera faite,” a-t-il noté.
De sa part, le ministre de la solidarité nationale et des actions humanitaires, Modeste Mutinga indique qu’au vu de ce bilan “traumatisant”, la violence doit cesser.
“Ce tableau bouleversant prouve à suffisance le niveau de cruauté et de culpabilité du Rwanda. C’est révoltant, trop c’est trop ! Ça doit cesser et ça va cesser. Le président de la République ne ménage aucun effort pour que la paix revienne dans cette partie du pays en insécurité récurrente,” a-t-il déclaré.
Notons que ces victimes ont été enterrées au cimetière de Kibati dénommé “Cimetière du Genocost”, dédié aux victimes des agressions rwandaises, selon les autorités.
Ce mercredi 15 mai, le monde célèbre la Journée internationale des familles. Une occasion de se pencher sur les défis auxquels font face les enfants des familles prolétaires. Ces derniers sont confrontés à la précarité, à l’insécurité alimentaire et au manque d’accès à des soins […]
ACTUALITÉSCe mercredi 15 mai, le monde célèbre la Journée internationale des familles. Une occasion de se pencher sur les défis auxquels font face les enfants des familles prolétaires. Ces derniers sont confrontés à la précarité, à l’insécurité alimentaire et au manque d’accès à des soins de santé de qualité. Le manque de ressources limite également leur accès à l’éducation et à la formation.
Ces enfants sont confrontés à des défis émotionnels et sociaux. Leur environnement familial peut être stressant et instable en raison de leur statut socio-économique, ce qui affecte leur confiance en eux et leur estime de soi.
Suite à cela, certains enfants et adolescents s’adonnent aux travaux lourds dans des carrières et restaurants et d’autres deviennent des transporteurs des fardeaux pourtant ils sont encore en âge scolaire.
“La situation de chômage et la position sociale des parents influencent le parcours scolaire des enfants, qui lui‑même conditionne leur insertion professionnelle future. Avoir les frais scolaires devient un casse tête. Ce qui conduit à ce que certains enfants s’adonnent à la délinquance et se laissent exploiter pour avoir à manger. C’est le cas par exemple des enfants qui sont au marché Bondeko qui transportent des fardeaux toute la journée,” indique Aimerance Cito, parent et vendeuse de Kadutu à Bukavu.
De sa part, Eric Mushagalusa, enseignant à l’école primaire de Burhiba, pense que cette journée est une occasion de réfléchir sur les moyens d’aider les enfants issus des familles modestes.
“La journée internationale des familles est un moment opportun de reconnaître la force et la résilience des enfants. Nous devons à cet effet, nous engager à travailler ensemble pour créer un monde où chaque enfant, quelle que soit son origine socio-économique, ait la possibilité de s’épanouir et de réaliser son plein potentiel,” soutient-il.
Cette année, la journée internationale des familles est célébrée sous le thème : ” familles et action climatique “. Les changements climatiques ont un impact négatif sur la santé et le bien-être des familles et entraînent souvent des déplacements forcés et la perte des moyens de subsistance des individus.
Un bébé a été retrouvé mort le matin de ce mercredi 15 mai près du lac Tanganyika, dans la ville de Baraka au Sud-Kivu. A en croire la Société Civile locale, il s’agit d’un enfant, probablement mis au monde la veille, qui aurait probablement été […]
ACTUALITÉSUn bébé a été retrouvé mort le matin de ce mercredi 15 mai près du lac Tanganyika, dans la ville de Baraka au Sud-Kivu.
A en croire la Société Civile locale, il s’agit d’un enfant, probablement mis au monde la veille, qui aurait probablement été jeté à ce lieu par sa mère, jusqu’ici non identifiée.
“Le corps sans vie de ce bébé a été retrouvé à la plage d’Aebaz à Baraka centre. Ce sont les pêcheurs et les passants qui y sont arrivés le matin et ont donné l’alerte. Le corps gisait sur le sable. Il est né la nuit du mardi 14, car le cordon ombilical n’est pas encore coupé,” déclare l’Abbé Kakozi Chakubuta, président de la société civile des compatriotes Congolais (SOCICO-RDC) à Baraka.
Celui-ci condamne cet acte et demande aux services de sécurité de tout faire pour que l’auteure soit retrouvée et jugée conformément à la loi.
Un enfant d’environ 2 ans est mort emporté par les eaux de la rivière Kilicha, ce mardi 14 mai 2024 au village Banana, dans le groupement Basikalangwa, territoire de Fizi au Sud-Kivu. A en croire Eninga Msombwa, président de la Nouvelle Société Civile Congolaise (NSCC) […]
ACTUALITÉSUn enfant d’environ 2 ans est mort emporté par les eaux de la rivière Kilicha, ce mardi 14 mai 2024 au village Banana, dans le groupement Basikalangwa, territoire de Fizi au Sud-Kivu.
A en croire Eninga Msombwa, président de la Nouvelle Société Civile Congolaise (NSCC) de la place, la victime a été emportée par les eaux de la rivière, pendant qu’elle était au champ avec sa mère.
“Le jeune garçon Espoir âgé de 2 ans, est tombé dans la rivière à la suite de l’inattention de sa mère, aux environs de midi. Elle était au champ et elle a gardé l’enfant à côté,” déclare-t-il.
La Société Civile locale demande aux parents de la zone de trouver des gardes pour leurs enfants, afin de les protéger contre ce genre d’incidents.
La jeune artiste Inès Mangominja sensibilise la communauté sur l’autonomisation et l’émancipation de la femme, à travers la danse. Un message lancé lors d’un entretien avec la RTNK. Selon cette artiste danseuse, la carrière de la danse connait plusieurs blocages dont les préjugés sociales, le […]
ACTUALITÉSLa jeune artiste Inès Mangominja sensibilise la communauté sur l’autonomisation et l’émancipation de la femme, à travers la danse. Un message lancé lors d’un entretien avec la RTNK.
Selon cette artiste danseuse, la carrière de la danse connait plusieurs blocages dont les préjugés sociales, le manque de financement et tant d’autres.
Inès Mangominja plaider pour l’implication des autorités compétentes dans la valorisation de la cette carrière.
Celle-ci appelle également la communauté à arrêter la stigmatisation des danseuses, car selon elle, elles exercent un métier noble tout comme tant d’autres.
En dehors de la danse, l’artiste Inès Mangominja œuvre dans la protection des enfants à travers l’organisation Phoenix. Cette dernière plaide pour la valorisation de la danse en vue défendre les droits de l’enfant en difficulté.
Dans un monde de plus en plus connecté, l’accès des jeunes filles au numérique est devenu un enjeu majeur pour promouvoir l’égalité des genres et favoriser leur émancipation. Malheureusement, de nombreuses barrières persistent et limitent encore la participation des filles aux technologies de l’information et […]
ACTUALITÉSDans un monde de plus en plus connecté, l’accès des jeunes filles au numérique est devenu un enjeu majeur pour promouvoir l’égalité des genres et favoriser leur émancipation. Malheureusement, de nombreuses barrières persistent et limitent encore la participation des filles aux technologies de l’information et de la communication.
Les filles sont moins susceptibles d’avoir un accès équitable aux technologies numériques en raison de facteurs socio-économiques et culturels. Elles sont confrontées à des obstacles, tels que le manque d’accès à des équipements informatiques, à internet ou à une formation dans le domaine de la TIC.
Selon un récent rapport de l’UNICEF consulté par Watoto News, 90% des adolescentes et jeunes filles âgées de 15 à 24 ans environ ne sont pas en ligne. Ce qui est un désavantage pour l’acquisition de compétences numériques.
“Combler le fossé numérique entre les filles et les garçons ne se résume pas à l’accès à l’internet et à la technologie. Il s’agit de donner aux filles les moyens de devenir des innovatrices, des créatrices et des dirigeantes. Pour franchir les obstacles qui empêchent les filles d’avancer, ces dernières ont besoin d’une sensibilisation et d’un accès précoce à la technologie, d’une formation aux compétences numériques et de mesures qui luttent contre les stéréotypes sexistes néfastes, en particulier au sein des familles, et contre la violence en ligne,” indique le directeur de l’éducation à l’UNICEF, Robert Jenkins, dans ce rapport.
Les stéréotypes de genre et les inégalités sociales continuent de freiner l’accès des jeunes filles au numérique. Souvent perçues comme moins douées en informatique ou moins intéressées par les technologies, les filles sont souvent découragées dès le plus jeune âge à s’engager dans des domaines liés à l’informatique et à la programmation.
Pourtant, les technologies de l’information et de la communication offrent de nombreuses opportunités pour l’autonomisation des filles et le renforcement de leurs compétences.
“Le numérique revêt un aspect particulier sur l’émancipation des jeunes femmes. Grâce à lui, les jeunes filles peuvent développer leur créativité, leur esprit critique et leur capacité à résoudre des problèmes, et conduire à leur autonomisation. La technologie peut également être un outil puissant pour que les femmes et les filles deviennent des agents du changement. Elles pourraient s’organiser de manière plus efficace et galvaniser leur action pour des causes communes, comme la lutte contre les violences sexistes,” nous explique le jeune Blessing Mugisho, licencié en communication digitale.
Investir dans l’inclusion des jeunes filles dans le domaine du numérique est donc non seulement une question d’équité, mais aussi un impératif pour construire un avenir plus juste et prospère pour tous en brisant les barrières qui limitent encore la participation des filles aux technologies de l’information et de la communication.
La Société Civile noyau communal de Bagira dénonce l’utilisation des enfants dans des travaux lourds à la pêcherie du Kivu, dans la ville de Bukavu au Sud-Kivu. Elle l’a dit lors d’un entretien ce mardi 13 mai 2024 avec un Reporter de Watoto News. Pour […]
ACTUALITÉSLa Société Civile noyau communal de Bagira dénonce l’utilisation des enfants dans des travaux lourds à la pêcherie du Kivu, dans la ville de Bukavu au Sud-Kivu. Elle l’a dit lors d’un entretien ce mardi 13 mai 2024 avec un Reporter de Watoto News.
Pour elle, des enfants sont utilisés comme des pêcheurs à la pêcherie du Kivu à Kalengera, mais également au niveau du chantier naval de la SNCC.
Gentil Kulimushi, président de la société civile noyau communal de Bagira, note que cette situation inquiétante expose les enfants et les adolescents de cette partie de la ville, à des risques qui peuvent leur coûter la vie.
“Le phénomène d’utilisation des enfants dans des travaux lourds en commune de Bagira, est devenu monnaie courante. A Copefima, des enfants sont utilisés comme des pêcheurs. Il est inacceptable de voir des enfants qui se réveillent à 1h ou à 2h voire 3h pour aller pêcher les poissons au chantier Naval SNCC vers Bralima et à Copefima vers Kalengera. Certains d’eux y passent la nuit. Ces enfants sont tellement exposés à des risques mortels,” a fait entendre le président de la société civile de Bagira.
Celui-ci appelle à l’implication des autorités concernées, pour mettre fin à cette situation.
“Ces derniers sont souvent exploités en travaillant de longues heures dans des environnements dangereux. Ils sont exposés à des risques pour leur santé et leur sécurité. Utiliser les enfants en âge scolaire dans des travaux lourds, constitue une violation flagrante de leurs droits fondamentaux. Ces enfants devraient normalement être à l’école et bénéficier d’une protection contre l’exploitation économique,” insiste-t-il.
Gentil Kulimushi affirme que la société civile continuera à surveiller cette situation de près, et à plaider en faveur de l’élimination du travail des enfants dans la pêcherie du Kivu.
Le village de Ndimo situé dans le territoire d’Irumu en province de l’Ituri, a été la cible d’une attaque rebelle, la nuit de lundi à ce mardi 14 mai 2024. Selon des sources locales, les assaillants, présumés membres du mouvement terroriste ADF/MTM, ont surgi dans […]
ACTUALITÉSLe village de Ndimo situé dans le territoire d’Irumu en province de l’Ituri, a été la cible d’une attaque rebelle, la nuit de lundi à ce mardi 14 mai 2024.
Selon des sources locales, les assaillants, présumés membres du mouvement terroriste ADF/MTM, ont surgi dans ce village vers 19 heures locales.
Sur place, ils ont exécuté 11 civils dont un enfant, 6 femmes et 4 hommes.
Cinq maisons d’habitation ont également été incendiées, confirme l’activiste des droits humains Christophe Munyanderu, qui déplore ce crime.
Pendant ce temps, les habitants de Ndimo ont manifesté ce mardi leur mécontentement, et ont exigé les explications des autorités militaires, avant l’inhumation de ces civils tués.
Consécutivement à cette attaque meurtrière, le trafic a été momentanément suspendu sur la route nationale numéro 4, axe Luna-Komanda pendant la journée.
C’est une énième attaque attribuée aux combattants ADF dans ce village où l’armée congolaise travaille en synergie avec l’armée ougandaise depuis environ deux ans afin d’y restaurer l’autorité de l’État.
A travers la danse, Prisca Kanga, jeune artiste œuvrant à Bukavu au Sud-Kivu, porte haut la voix des enfants. Danseuse depuis plusieurs années, Prisca Kanga sensibilise la communauté sur plusieurs thématiques notamment la paix, mais également les droits de l’enfant et de la femme. Dans […]
ACTUALITÉSA travers la danse, Prisca Kanga, jeune artiste œuvrant à Bukavu au Sud-Kivu, porte haut la voix des enfants.
Danseuse depuis plusieurs années, Prisca Kanga sensibilise la communauté sur plusieurs thématiques notamment la paix, mais également les droits de l’enfant et de la femme.
Dans un entretien avec Watoto News, celle-ci affirme que malgré plusieurs défis dont le manque de moyens et l’insuffisance des salles de spectacle, elle ne baisse pas les bras.
Pour elle, la danse demeure un métier comme tant d’autres, et ne doit pas être négligée par la communauté.
Occasion pour Prisca Kanga d’appeller les autorités et la population à soutenir la danse, car elle contribue, selon elle, à la bonne santé mentale.