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Mon nom est Mardochée Balungwe, je suis enfant-journaliste du Rjae-Junior.
J’ai participé au festival ya Watoto ce 06 juillet à l’institut français de Bukavu comme photographe.

A mon arrivé au lieu du festival, j’ai trouvé une ambiance extraordinaire. Des enfants qui s’amusent beaucoup et plusieurs jeux disponibles. Avec mes amis enfants-journalistes, nous avons installé nos matériels au stand du RJAE. 

Ensuite chacun a commencé à faire ses tâches. Au debut, j’expliquai aux autres enfants qui arrivaient à notre stand à quoi consiste le journalisme, comment on fait le journalisme et surtout pourquoi c’est important d’informer sur ce qui est vrai et vérifié. Je leur expliquais comment on utilise un appareil photo ; comment cadrer et prendre des belles photos. 

Ensuite j’ai changé de rôle et c’était le moment le plus intéressant pour moi : faire Le tour du festival en prenant des photos. Prendre des photos m’a permis de vivre pleinement le festival ya Watoto.

Alors que mes collègues Prosper, Divin et Christian faisait des vidéos du festival, moi je circulais ici et là pour prendre des photos. C’était très intéressant de ne rien raté. 

J’ai visité quelques ateliers où les enfants était encadrés. De temps en temps je croisais mon collègue Arsène qui faisait des vidéos en direct ce qu’on appelle le live. Il y avait vraiment beaucoup de monde. Trouver un chemin était très difficile et de fois pendant que je cadre mon sujet, on me bouscule. Mais bon c’est le risque du métier.

J’ai vu des enfants qui lisaient des livres, d’autres qui griffonnaient, apprenaient à planter des arbres, etc. Bref, j’aitout visité et pris des photos. Certaines réussie et d’autres pas du tout.

Dans la salle de spectacle les magiciens ont épatés les enfants avec leurs tours de magie. C’était effrayant et très amusant à la fois. 

Dans la même salle, nous les enfants-journaliste du Rjae-junior avions présenté une note   de plaidoyer où nous avons dit non à la guerre au Nord Kivu, oui à la paix pour que les droits des enfants soient protégés ! pendant cette note j’ai changé de rôle à nouveau, j’étais à la guitare pour agrémenter la partie chanson de notre note de plaidoyer. C’était cool cette expérience. 

En tout cas au nom des enfants qui eux ne sont pas journalistes pour écrire sur ce qui s’est passé, je dis merci à l’institut français de Bukavu pour ce festival. Les enfants se sont vraiment amusés à fond.    

par Mardochée Balungwe

Auteur/autrice

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