Dans le cadre du projet de résilience en éducation non formelle, 109 jeunes et adolescents vulnérables de Miti, Kavumu et Katana, dans le territoire de Kabare au Sud-Kivu, ont reçu ce samedi 26 octobre 2024 des kits de réinsertion socioéconomique.
La cérémonie de distribution a été présidée par la ministre provinciale de l’Éducation, en présence du Directeur provincial de l’EDU-NC Sud-Kivu 1 par intérim, ainsi que des superviseurs et des parents des bénéficiaires.
« Je remercie notre partenaire, l’UNICEF, pour le soutien continu qu’il apporte au gouvernement congolais à travers l’encadrement des jeunes. J’encourage également tous les jeunes qui viennent de recevoir leurs kits : prenez soin de ce matériel, car il représente désormais un moyen qui vous permettra de sortir de la pauvreté », a déclaré Catherine Cijanga, ministre provinciale de l’Éducation au Sud-Kivu.
Parmi les bénéficiaires, Iragi Bashwirha, une jeune fille formée en ajustage, a exprimé sa gratitude envers les bienfaiteurs pour les équipements qu’elle vient de recevoir.
De sa part, Ushindi Isaac, un jeune de Katana ayant également suivi une formation en ajustage, a remercié le gouvernement provincial et l’UNICEF pour cette grande réalisation.
« Je remercie le gouvernement provincial et son partenaire, l’UNICEF, d’avoir pensé à nous, les jeunes qui n’ont pas eu la chance de suivre des études. Nous avons bénéficié de cette formation en métiers manuels, ce qui nous permettra d’être responsables et autonomes », a-t-il affirmé.
Par ailleurs, celui-ci sollicite l’extension du projet à d’autres jeunes de la communauté qui en ont besoin, pour un grand impact dans cette entité.
Cette phase de distribution des kits de réinsertion socioéconomique marque la fin de la quatrième cohorte du projet de résilience en éducation non formelle au Sud-Kivu. Ce projet sous la coordination de la Direction provinciale de l’EDU-NC, en consortium avec la division des Affaires sociales, la division de la Jeunesse, ainqi que la division de la Formation professionnelle et Métiers, et des ONG locales telles que JAAN, GAV, LAC et ARPS, est financé par l’UNICEF.